13, 14 et 15 octobre, virée des laminak en Dordogne
Un voyage préparé par notre amie Joëlle qui tenait à nous faire découvrir les beautés de sa Dordogne natale.

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Un solide pique-nique englouti, il ne nous reste plus qu'à gravir la pente qui mène au château.AA4

Là nous attend dame Jeannette dite "la cuisinière", la plus fine connaisseuse de ces vieilles murailles, de leur histoire ainsi que de leurs secrets.

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Accueillante, pitoresque et bavarde elle l'est assurément. Par contre, bonne cuisinière c'est moins sûr à en voir les deux seuls tristes poireaux qui garnissent sont panier à provisions. Nul ne peut croire que c'est avec ces deux pauvres lègumes qu'elle peut espérer satisfaire les 26 apétits qui s'avancent vers elle.
Ceci dit et les présentations faites, la visite commence.

Dès l'entrée dans l'enceinte, Pierre, tout imprégné de la grandeur des Caumont, seigneurs de ces lieux durant des siècles, nous mime le poids et la solitude du pouvoir.

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Plus loin, dans un recoin de la cour, dans l'ombre où se tapit le fourbe, on découvre un maure qui cherche vainement à se faire passer pour un de nos preux chevaliers.

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AA9      Tout l'art de "poireauter" résumé en une image où le modèle se sent pour le moins un peu ridicule.

Monsieur, monsieur, sauf votre respect, l'armure à admirer ... c'est juste le truc derrière vous !    AAA1

   A voir aussi quelques maquettes de machines de guerre - des machines à monter au ciel diront certains, à éloigner les épouses devenues boulets affirmeront d'autres.

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A voir également le donjon avec tout en haut, sa salle du trône, son dernier seigneur et quelques courtisanes aussi sages que silencieuses !

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Après le donjon et le mystère de la malle, Jeannette nous conduit aux cuisines, son lieu de travail et également le centre névralgique du château. Là, force lièvres, faisans et autres volatiles délicieux côtoient un sanglier dodu prêt à tourner sur la broche.

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Mais si la Jeannette cause bien, la table pour sa part reste bien vide de bonnes et grasses nourritures.

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 Encore une dernière histoire à faire frémir damoiseaux et damoiselles et ...

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...  nous nous retrouvons sur les murailles, sans rien avoir goûter de toutes ces victuailles ! Là, la maraude nous invite seulement à admirer le paysage ainsi que les machines de guerre qui défendent le château.

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A nos pieds les jardins, cours et potager du château. Plus loin la tranquille Dordogne qui coule dans la vallée et, tout en bas des remparts, les toits des masures où vivent les gueux, comme disent les maîtres.

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En fin d'après-midi, revenus dans notre siècle, nous nous rendons à Sarlat pour y découvrir une brasserie artisanale.

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Plus tard, après avoir déposé nos bagages à l'hôtel "Albizia", nous retournons à Sarlat pour le premier des deux dîners que nous prendrons au restaurant "La Couleuvrine".
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Le deuxième jour (samedi 14 octobre) après un copieux petit-déjeuner à l'hôtel, nous retournons à Sarlat pour visiter son marché et faire quelques emplettes pour les pique-niques à venir.
A dix heures tapantes, conformément à notre programme, notre convoi s'ébranle vers La Roque-Gageac.
Là, découverte du village, promenade dans ses nombreuses ruelles puis pause sur les quais de la Dordogne ...
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Quelques détails sur le manoir de Tarde ...
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 et quelque autre modeste logis
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11h30, il ne reste plus qu'à embarquer sur la gabare à Norbert ...
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... pour une excursion reposante au fil de l'eau.
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Cette balade apéritive faite, un bon pique-nique et départ pour Montignac à une petite quarantaines de kilomètres pour aller visiter l'incontournable Lascaux IV.
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Et, bien sûr l'exploit technique des Laminak : la photo d'un groupe de Cromagnons !
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Après ces aventures dans cette fabuleuse machine à remonter le temps, retour à l'hôtel, brève visite au bowling qui le jouxte, dîner à La Couleuvrine puis sommeil réparateur.
 
Dimanche matin, 9h00, petits-déjeuners pris, chambres vidées, bagages rangés dans les voitures, tout le monde est prêt et de bonne humeur pour aborder cette troisième et dernière journée de notre séjour en Dordogne.
Au programme de ce début de matinée : visite de Sarlat, libre d'abord puis accompagnée par la "Belle sarladaise".
Tout d'abord le marché permanent avec sa gigantesque porte signée Jean Nouvel, un presque enfant du pays.
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La place du marché aux oies :
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Le passage vers le marché ainsi que l'hôtel de Vienne :
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L'entrée de la rue Fénelon ainsi que la place Lucien de Maleville :
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Quelques vues aussi pitoresques qu'anonymes :
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L'Hôtel de Ville et la place de la Liberté :
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Et bien sûr l'incontournable maison de Laboètie, l'enfant du pays, le héros de Sarlat :
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Pour finir et pour n'oublier personne, deux portraits de la "Belle sarladaise" qui anima avec talent, humour et de nombreuses références cette très agréable visite de Sarlat.
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Cette agréable visite achevée, il était temps pour le groupe des laminak, de quitter Sarlat et de se diriger vers Le Bugue pour pique-niquer puis visiter le gouffre de Proumeyssac.
Après cette dernière visite, il était temps de reprendre la route vers Larressore sans toutefois oublier de faire un petit crochet par Saint Émilion pour y boire un dernier verre et profiter jusqu'au bout de cette magnifique météo qui nous a accompagné tout au long de ce week-end touristique.
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 21h00 - 22h00 : Tout le monde est arrivé à Larressore sans incident. Dans quelques jours on "débriefera" pour recueillir les impressions de chacun.