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- Créé le 15 décembre 2010
- Écrit par Céline CHAVEROCHE
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La course d’orientation
Vendredi 10 décembre, on a fait une course d’orientation dans Larressore. C’était comme une chasse au trésor en équipe . On était quatre ou cinq par équipe, CP, CE1, CE2, CM1 et CM2 mélangés. Au départ, on avait des photos des différents endroits qu'il fallait resituer sur le plan. Il fallait se déplacer dans le village de photo en photo (en faisant attention à la circulation évidemment !) Pour gagner, il fallait resituer les photos sur le plan.
Nous étions accompagnés par des parents et par Céline, Ixa et Claire qui nous avaient préparés en classe et en sortie : on avait d'abord appris à se déplacer grâce à une carte, à utiliser une boussole. On avait repéré sur une carte satellite le village de Larressore, puis notre école, le stade, la boulangerie, le séminaire, le garage au rond point et l’église.
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- Créé le 22 février 2012
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Dégustation de fromage
Jeudi 12 janvier, Pantxix, crémier à Hasparren, nous a fait goûter différents fromages.
Avant de procéder à la dégustation, il nous a montré une roue qui présente les saveurs. Notre cerveau est comme un ordinateur. Le fromage peut nous rappeler certaines saveurs (noisette, réglisse, herbe sèche ...) dont le souvenir est stocké dans un coin. La mémoire a donc un rôle dans la dégustation : si on a imprimé une saveur lors d'une «expérience culinaire» précédente, on peut la retrouver plus tard. C'est pourquoi un fromage peut nous rappeler des arômes. Ils sont regroupés en groupes : animal, torréfié, fruité, floral, végétal, lactique, défaut, épicé, autres.
Comment déguster un fromage ? Avant de le déguster, il faut le voir, le toucher, le sentir. Ensuite, on le porte à la bouche goûte. Un tout petit bout au bout de la langue.
D'abord à la cantine, chaque enfant de la maternelle au CP a goûté 4 produits : de la crème de lait et trois fromages : un « vache », un « brebis » et un « chèvre ».
Pendant l'atelier, le livreur a amené le repas de midi. Il y avait du kiri.
Le Kiri n'est pas un fromage, c'est un mélange industriel de restes d'autres fromages et d'autres composants. Pantxix n'aime pas non plus la Vache qui rit.
Ensuite en classe, ce sont les grands qui ont fait un jeu : ils ont goûté différents fromages les yeux bandés et ensuite, devaient trouver l'ordre dans lequel ils les avaient goûtés, en les voyant et en pouvant vérifier en en mangeant un petit bout. Exercice difficile mais délicieux, surtout à l'approche de midi ! Tout le monde n'a pas pu participer mais nous avons repris les ateliers le lendemain, puisque les fromages sont restés à l'école.
Nous avons eu des explications sur la production de fromage : on le lave dans la cave, il est affiné. Plus on le laisse longtemps, plus il a du goût. Avec le temps le fromage durcit.
Il existe des fromages faits en 2 jours ; on en a goûté un aux herbes aromatiques, fabriqué à Mendionde.
« Avant, je ne mangeais jamais de fromage, je n'en aimais pas l'odeur et je pensais ne pas aimer. Là, j'ai fait l'effort de goûter et ça m'a plu. Maintenant, j'en goûterai de temps en temps ». Ilona
« Quand j'étais petit je n'aimais que La vache qui rit. Maintenant c'est l'inverse. » Loris
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- Créé le 11 juin 2015
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JOKOZ KANPO 2015 : LA PARADE !
Samedi 6 juin, on était prêts ! Nos parents, qui étaient dans le public, ont trouvé la parade géniale !Les poissons magnifiques, le rythme de la musique entraînant, les marionnettes amusantes...
Certains étaient déçus de ne pas voir la raie manta prévue initialement, mais c'est qu'elle était trop grande pour les rues d'Espelette !
Ce projet était super, on s'amusait en apprenant des choses :
- l'existence de nouveaux « continents » de plastique ;
- créer de jolis objets avec des déchets recyclés ;
- fabriquer les dirimbaos ;
- apprendre à trouver un rythme et le suivre tous ensemble ;
- essayer tous les rôles : poissons, musiciens, porteurs de marionnettes en s'entraidant ;
- rencontrer de artistes qui nous expliquent des techniques ;
- se mélanger avec d'autres classes d'autres écoles ;
- présenter un spectacle en public, devant des centaines d'inconnus, nous a rendus moins timides...
On n'aura pas une deuxième chance de revivre cette expérience !
Nous sommes heureux et fiers d'avoir participé à ce projet et remercions la communauté des communes, la fabrique des arts Hameka et la Compagnie des Voisins du dessus !
Le cycle 3 de l'école de Larressore
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- Créé le 16 mai 2013
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Une semaine de ski à Gourette !
Les 49 élèves du CE1 au CM2 sont revenus de leur séjour à Gourette ravis de leur semaine bien remplie : partis dès le dimanche pour être sur les pistes tôt le lendemain, nous n'avons pas perdu une minute pour profiter de chaque instant. Au programme, 3h30 de ski par jour encadrées par les moniteurs de l'ESF, ballade en raquettes, bataille de boules de neige...mais aussi découverte de la faune locale, explications sur les avalanches, soirée contes devant le feu de cheminée, jeux d'équipe hilarants...De quoi se créer d'excellents souvenirs !
Nous remercions l'Association des Parents d'Elèves qui a soutenu ce projet, et surtout Sylvie, Pénélope et Tatiana pour leur efficacité et leur bonne humeur !
Quelques photos en attendant le diaporama présenté à la fête de l'école.
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- Créé le 11 avril 2015
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LE BALLET UTOPIQUE
"Les Voisins du Dessus" est une compagnie bordelaise spécialisée dans la création et la manipulation de grandes marionnettes. Ils sont en ce moment en résidence d'artiste à Louhossoa, à la salle Hameka. Nous avons travaillé avec eux en transformant du matériel de récupération (poches en plastique, bidons, bouchons, tuyaux...) en instruments de musique, joyeux poissons et personnages articulés. Maniant scies, perceuses et pistolets à colle, les élèves se sont révélés techniciens, bricoleurs, et «petites mains» : de la conception au dernier petit détail (est-ce qu'on rajoute une boucle d'oreille ?), ils ont adoré cet atelier !
Ce projet est en lien avec notre projet d'école sur les continents : après avoir fait le tour du Monde, pour clore l'année scolaire, nous évoquons là le «7e contient de plastique» : cette immense plaque de déchets grossissant de jour en jour dans l'océan Pacifique.
La prochaine étape sera d'apprendre à jouer des instruments et à manipuler ces marionnettes géantes. Gérome et Alice viendront à l'école au mois de mai pour cela.
Et nous serons prêts pour participer au festival d'arts de la rue Jokoz Kanpo à Espelette ! Si vous voulez assister à la parade de ce ballet utopique, rendez-vous le 6 juin, dans l'après-midi !
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- Créé le 6 novembre 2012
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Notre journée avec Cro-Magnon
Le jeudi 11 octobre, nous sommes allés aux grottes d'Isturits. Nous avons appris que les hommes préhistoriques mangeaient beaucoup de cheval et un peu de mammouth. Nous avons aussi vu des dessins sur des parois: c'est de l'art pariétal. Ensuite, nous avons fait des ateliers (de la chasse et des imitations des dents de renne). Saviez-vous que les stalagmites et les stalactites prennent plus d'un siècle pour grandir de 1 cm ?
Dans la grotte, il y avait un chantier de fouilles mais c'était interdit au public... (Mathis)
La visite des grottes
L'homme de Cro-Magnon a vécu dans les grottes d'Isturits, il y a 40000 ans. (Mathieu L)
Notre guide nous a expliqué que c'était la rivière qui avait creusé les grottes. Au départ, je ne savais pas qu'il y avait trois grottes, dont une qui ne se visite pas. (Joseph)
Les hommes de Cro-Magnon mangeaient : des rennes, des bisons, des lapins et du cheval. Ils tuaient aussi des oiseaux. Avec les peaux, ils fabriquaient des vêtements. Avec les os des oiseaux, ils fabriquaient des flûtes. Grâce aux vestiges retrouvés, les archéologues savent que les hommes de Cro-Magnon étaient très proches de nous par leur mode de vie. Notre guide nous a montré des fouilles archéologiques. J'admire l'art pariétal : j'ai vu un poisson, trois rennes et un cheval représentés de manière réaliste. (Mahina)
Dans le champ de fouilles, de nombreux objets préhistoriques ont été découverts par les archéologues : des aiguilles, des harpons, des silex, des flûtes en os d'oiseau (ils sont creux)... Ils ont aussi découvert des dessins de chevaux, de bisons. Dans la profondeur de ces grottes, se forment des stalactites et des stalagmites. (Thomas)
J'ai appris que les stalactites et les stalagmites peuvent se rejoindre et grandissent de quelques millimètres par siècle. D'après les ossements retrouvés, on sait qu'ils ont ici peu chassé les mammouths mais qu'ils ont beaucoup chassé les chevaux, les bisons, les cerfs et les lapins. Comme eux, nous avons appris à nous servir d'une sagaie avec un propulseur. (Lily-Rose)
L'atelier « Chasse »
Nous avons chassé comme les hommes de Cro-Magnon. Nous étions munis d'un propulseur et d'une sagaie. Avec on essayait de viser des cibles. Il y avait cinq cibles .Elles avaient chacune leur nom. La n°1, on avait droit à une brochette de moustiques, la n°2 c'était un petit bouquetin, la n°3, un cerf, la n°4 (entre deux poteaux) donnait droit à un cheval, enfin la n°5 (une botte de foin éloignée) représentait le bison. (Iban)
Je me suis rendu compte qu'avec un propulseur, une sagaie allait beaucoup plus loin qu'à main nue. (Joseph)
L'atelier « Parure : fabrication de perle »
L'art pariétal : sur une paroi des grottes d'Isturits, nous pouvons voir des animaux dessinés par l'homme de Cro-Magnon. Ce sont des peintures rupestres. Il savait aussi sculpter la pierre, l'ivoire de mammouth, des os... A sa manière, nous avons transformé par abrasion un morceau de roche en une perle en forme de dent de renne. Pour la percer, nous avons utilisé un silex. (Oihan)
Aude nous a expliqué que des hommes préhistoriques s'étaient orné la chevelure de 200 perles ou porté un pagne de 3000 perles, un autre portait même une parure de 7000 canines de rennes ! Plus tard, des scientifiques se sont rendu compte que ce n'était pas tout le temps de vraies dents de rennes : ils sculptaient de la pierre de talc et la teintaient avec de l'huile. (Joseph)
Pour créer notre perle, il faut une pierre de talc déjà en forme de prisme et une pierre plate. D'abord il faut tailler la pierre de talc en forme de dent de renne ; il ne faut pas voir les arêtes. Ensuite mettre de l'huile de cuisine et frotter pour donner une jolie teinte. (Mahina)
En reproduisant leurs gestes, chacun a travaillé une pierre et fabriqué un pendentif que nous avons accroché à un cordon, souvenir de cette journée enrichissante. (Paul)
A l'issue de cette visite, Léa, Mathieu, Maria et Joseph se sont réunis pour vous proposer ce petit questionnaire et vous permettre ainsi de tester vos connaissances.
- Qu'est-ce que la famille des Hominidés ?
- Quel est le premier représentant de la famille des Hominidés ?
- Quand et où a-t-on reconnu en Europe des ossements d'Homo-Sapiens ?
- Quelle est l'autre manière de nommer un Homo Sapiens ?
- Quels matériaux Cro-Magnon utilisait-il pour créer des objets ?
- Comment fixait-il les lames de ses outils sur leur manche ?
- Comment appelle-t-on la célèbre tête sculptée dans l'ivoire retrouvée par les archéologues et datant de -23000 ans ?
- Comment Cro-Magnon se faisait-il beau ?
- Quel sujet l'inspirait-il pour ses décorations ?
- Qu'est-ce que l'art pariétal ?
- Quels animaux y sont-ils principalement représentés ?
- Qu'est-ce qui est pratiquement absent de ces peintures ?
- D'après les préhistoriens, quelle était la fonction de ces peintures ?
Réfléchissez ...
Accédez aux solutions .........
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- Créé le 11 juin 2015
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Répétition générale pour notre parade à JOKOZ KANPO !
Vendredi 5 juin, nous sommes allés au marché couvert d'Espelette où nous avons retrouvé les trois autres écoles (Arruntz, Itxassou et Souraïde) qui participaient au projet.
Nous avons d'abord pris connaissance du parcours de la parade dans Espelette, sans matériel puisque la circulation n’était pas arrêtée.
Puis on s'est répartis les rôles : marionnettes, berimbao, maracas, tambours et poissons. Chaque groupe s'est entraîné séparément. Ensuite nous avons pique-niqué au marché couvert car il faisait très chaud !
Après cette pause, nous nous sommes rassemblés pour les répétitions générales avec de nouvelles chorégraphies pour les poissons.
« C'est un projet intéressant ! » (Naia T)
« Un peu fatiguant car il faisait très chaud. » (Dimitri)
« Amusant et les répétions donnent envie de revenir demain ! » (Maëlle)
« On travaille mais on s'amuse en même temps, surtout en jouant du tambour ! »(Simon)
« Les marionnettes , je trouve ça super ! » (Emilie)
« Au final c'était génial ! » (Iban)
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- Créé le 20 mars 2015
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SAKURA et l'HANAMI
Le printemps, c'est la saison où les arbres fruitiers sont en fleurs.
Au Japon c'est une fête. Tout le Japon célèbre HANAMI, en Japonais 花見, littéralement «la contemplation des cerisiers en fleurs»: on se réunit entre amis ou en famille dans les parcs, sous les branches fleuries et on pique-nique assis sur des bâches bleues étendues au sol. C'est le grand événement du printemps, issu d'une longue tradition.
Les Japonais aiment rattacher leur vie au cours des saisons, ils aiment être en harmonie avec la nature et le printemps est leur saison préférée. Le mot SAKURA désigne les cerisiers en fleurs : c'est la fleur de cerisier, la fleur préférée des japonais. Fin mars, c'est le moment où les fleurs finissent d'éclore dans la région de Kyoto et de Tokyo. Dans les parcs immenses, on peut voir des centaines d'arbres roses. Les japonais se pressent en très grand nombre pour l'HANAMI .
La fleur de cerisier est largement utilisée dans l'art japonais depuis des centaines d'années. Selon la tradition bouddhiste, la beauté brève des fleurs symbolise la nature éphémère de la vie.
La fleur de cerisier est aussi liée à la culture des samouraïs, qui représente la nature éphémère de la vie du samouraï et symbolique des gouttes de sang.
« Comme dans un rayon de soleil matinal,
Le pétale d'une fleur de cerisier se détache,
Ainsi l'homme impavide doit pouvoir
Se détacher de l'existence, silencieusement
Et d'un cœur que rien n'agite »
Si l'on veut devenir un parfait Samouraï, il est nécessaire de se préparer à la mort matin et soir, et jours près jours...... C'est ainsi que l'on échappe à l'angoisse et à la peur de mourir....
Pour co-célébrer ces fêtes traditionnelles japonaises, les élèves du cycle 3 unilingue ont réalisé ici, à l'encre et à la peinture, leurs propres représentations de branches de cerisiers en fleurs.
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- Créé le 3 juillet 2015
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LA PRINCESSE BAMBOU
Pour clore notre travail sur la découverte de la culture japonaise, nous avons eu le plaisir de présenter aux autres classes et à nos proches un spectacle sous forme de kamishibai.
Avant le spectacle …
Guillaume explique les quatre séances de préparation :
A la première séance avec Haize, elle nous a d'abord présenté son spectacle «Olentzero ou le charbonnier ». Nous avons discuté sur les spécificités du kamishibaï puis nous avons fait des jeux pour se présenter.
A la deuxième séance, nous avons commencé les planches en nous appuyant sur notre « banque d'images », ainsi que 5 rouleaux et 3 éventails pour le décor.
A la troisième, nous avons mis en valeur nos dessins d'après les remarques d'Haize qui les avait emportées.
A la quatrième, les illustrations étaient prêtes et nous avons répété les lectures et travaillé le décor et la mise en scène.
Qu'est que le kamishibai ?
Voici les explications de Tara Mc Gowan, spécialiste du folklore japonais (postface de l'album Le bonhomme kamishibaï, écrit par Allen Say, Ecole des loisirs :
« Le kamishibaï a été inventé, dit-on , dans les années 1930, mais il est l'héritier d'une longue tradition de contes illustrés au Japon. Les premières formes de kamishibaï n'étaient pas faciles à transporter, mais, vers la fin des années 1920, on mit au point une petite scène en bois, comme un châtelet de marionnettes, qu'il était facile d'installer sur une bicyclette pour l'emporter de ville en ville. Les « bonhommes kamishibaï » gagnaient leur vie en vendant des bonbons, ils racontaient des histoires à épisodes, afin que le public revienne pour connaître la suite et acheter de nouveaux bonbons…
Durant la Seconde Guerre mondiale et dans les années qui suivirent, le kamishibaï devint une partie encore plus intégrante de la société en tant que distraction de masse dans la mesure où on pouvait l'apporter jusque dans les abris antiaériens et dans les quartiers dévastés par les bombardements. A cette époque, il s'adressait autant aux adultes qu'aux enfants.
Dans les années 50, à l'arrivée de la télévision, le kamishibaï était une forme de divertissement populaire que le poste de télévision était appelé denki (électrique) kamishibaï. Cependant , à mesure que le Japon devenait plus riche, le kamishibaï se retrouva associé aux idées de pauvreté et de régression, les bonbons furent considérés comme mauvais pour la santé et certains prétendirent que des histoires étaient malsaines...Au bout d'un temps, le kamishibaï, en tant que théâtre de rue, disparut tout bonnement.
Les artistes qui avaient travaillé dans ce domaine se tournèrent vers des activités plus lucratives, en particulier la création de mangas et, plus tard, celle de dessins animés, mais ils n'oublièrent jamais leurs racines, au cœur du kamishibaï. »
Notre spectacle: la Princesse bambou
Après avoir étudié de nombreux contes du monde, nous avons choisi de présenter notre adaptation d'un conte populaire que tout le monde connaît au Japon : le Conte du coupeur de bambou.
Ce récit est considéré comme le plus ancien écrit en langue japonaise : il daterait du Xe siècle ! Il s’agit de l’histoire d’un vieil homme sans enfant qui, en coupant du bambou, trouve au cœur d’une tige un bébé pas plus grand qu’un pouce. Cependant, l’enfant grandit vite et devient une magnifique jeune femme que le vieil homme et sa femme vont élever comme leur propre fille. Elle sera nommé « Kaguya » (lumière resplendissante) en hommage à sa beauté...Un bonheur n’arrivant jamais seul, le vieil homme trouve dans d’autres tiges de bambou des pépites d’or qui lui permettront d’élever sa fille comme une vraie princesse. Vous comprenez ainsi le titre de notre spectacle, la Princesse Bambou… Nous avons donné trois représentations : deux devant les classes et la dernières devant nos parents. Une belle réussite et un très beau projet réalisé grâce à Haize, de l'association ZALADAIN, que nous remercions chaleureusement ! Milesker !
La Compagnie Katishibaï