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- Créé le 13 mai 2024
- Écrit par DEUBEL Denis
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RANDONNÉE DE MAI
(comme chaque fois, pensez à promener le curseur de votre souris sur les photos encadrées en rouge pour découvrir le clin d'œil du mois)
Après deux magnifiques journées estivales, nous voici, ce dimanche 12 mai, brusquement replongés dans un "retour surprise" de l'hiver. Au programme, pas de chapeau et de crème solaire, mais un thermomètre en berne, un crachin digne des Highlands écossaises et un ciel tellement bas que nous ne voyons pas à plus de dix mètres. Bref, une journée que l'on rêverait pouvoir passer allongé sur le canapé, près d'un bon feu de cheminée, à s'abêtir devant des vidéos aussi insipides que relaxantes.
Pourtant, malgré ces piètres conditions, ce n'est pas moins de vingt laminak qui se retrouvent dès 9H00 à notre rendez-vous de mai. Des laminak, qui comme le chantait Enrico Macias dans les années 60, ont dans le cœur le soleil qu'ils n'ont pas dehors.
L'itinéraire
Ainsi donc, vite répartis dans quatre voitures, nous voilà donc en route pour le col de Pinodieta puis la ferme Haltia où nous rejoindrons Nadine et Alain afin d'arpenter ensemble les pentes qui grimpent jusqu'au "Col des Trois Croix". Cette boucle relativement facile d'environ 4,5 km pour un dénivelé de 250 m, se déroule sur un chemin forestier à la pente régulière jusqu'au plateau sommital.
Ce qui nous était promis :
Ce que nous avons eu (pluie, vent et brouillard) :
Ces conditions n'ont toutefois jamais entamé la bonne humeur et l'allant du groupe.
Au sommet :
L'incontournable photo de groupe ...
... et le panorama que chacun a le loisir d'imaginer en fonction de ses goûts.
Bref, température, vent, crachin et brouillard, tout nous incite à ne pas nous attarder et à redescendre rapidement.
Ouf ! On est maintenant sous la couche, on voit où l'on va et on sait où on est.
Après l'effort, le réconfort
Impossible bien sûr de pique-niquer au bord d'une prairie ou sur les berges d'un ruisseau comme nos guides l'avaient sûrement envisagé. De retour aux voitures et à l'heure où nos appétits se réveillent, il nous faut rapidement nous adapter à la météo et chercher un abri au sec. Rapidement, nous nous rallions à la proposition de Maïté et Gérard de déjeuner dans leur jardin, sous leur abri-voitures. En plus, embourgeoisement oblige, nous mangerons assis autour d'une table.
Sitôt dit, sitôt fait, nous embarquons dans nos voitures et quelques minutes plus tard, grâce à la magie de nos hôtes, nous voilà attablés en train de nous restaurer.
Attention, le mois prochain c'est notre "rando-gastro" de fin de saison. Il faudra réserver !