LARRESSORE
SECTION RANDONNÉE
Cette section propose environ dix randonnées par saison, soit une randonnée dominicale chaque mois hors période estivale. Les itinéraires que nous sélectionnons se situent de préférence à moins d'une heure de route de Larressore afin de favoriser la découverte ou la redécouverte de notre patrimoine immédiat.
Ouvertes à tous, jeunes et moins jeunes, sportifs ou pas, ces sorties privilégient le plaisir à l'effort. Dans ce but, nous limitons la durée de marche à moins de 3 heures, évitons les dénivelés trop importants et incluons une pose "pique-nique" au deux tiers de l'effort. Bref, nos randonnées sont plus familiales que sportives, ne s'adressent pas à des randonneurs accomplis et cherchent avant tout à conjuguer harmonieusement convivialité et activité sportive pour tous.
Sur un plan pratique, nos propositions de sorties sont communiquées à nos adhérents via leurs messageries électroniques et sont diffusées environ une semaine à l'avance. Les RdV ont lieu sur le parking de la crèche de Larressore (chemin Inthalatzeko) et, sauf cas particuliers soigneusement notifiés, ne nécessitent pas d'inscription.
Lors de nos sorties nous nous donnons en général RdV entre 8h et 9h et sommes de retour vers 17-18 heures après avoir partagé le traditionnel verre de l'amitié offert par l'association.
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- Créé le 1 octobre 2024
- Écrit par DEUBEL Denis
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RANDO-CUEILLETTE DE CHÂTAIGNES
Une reprise un peu difficile : deux week-ends successifs de fermetures exceptionnelles de notre verger habituel plus une impossibilité accidentelle de visiter l'abbaye de Lahonce. C'est donc seulement le dernier dimanche de septembre que nous avons pu réaliser notre première randonnée de la saison.
Un grand merci en l'occurrence à notre ami Jean-Baptiste qui a su, en moins de 48h, échafauder un plan B. Un plan qui, tout en conservant notre thème traditionnel de cueillette, nous fasse en même temps découvrir un itinéraire nouveau riche de beaux panoramas. Un itinéraire qui nous fasse également traverser des châtaigneraies généreuses afin que nous puissions facilement remplir nos sacs de ces beaux fruits d'automne. Ainsi, pour conserver le thème traditionnel de notre première sortie, ... faute de pommes, ce sera "châtaignes" !
L'itinéraire
Images du parcours
Pour nous accueillir, la Rhune avait revêtu ses plus beaux habits de lumières.
C'est après seulement quelques centaines de mètres de marche que nos pas rencontrent les premières bogues remplies de ces fruits oblongs qui caractérisent le début de l'automne.
Ce parcours offre également de magnifiques panoramas.
De plus, cet itinéraire n'est pas non plus dépourvu de surprises puisque ...
... nous y découvrons une mièlerie
ainsi que quelques chevaux qui viennent spontanément à notre rencontre.
Au hasard de nos haltes, notre botaniste en chef nous apprend également à identifier fleurs, arbres, arbustes et plantes diverses.
Sur le parcours, la nature nous oppose parfois quelques obstacles, ... des sortes d'imprévus qui pimentent notre balade.
Des sujets de réflexion et de discussions qui n'entachent en rien notre plaisir d'être ensemble et ...
nous donnent même l'occasion de faire une halte pour grignoter des provisions de bouche apportées par les uns et les autres.
Encore quelques derniers efforts et notre rando s'achève ...
... sur la terrasse de chez Doxpi.
Puis, l'heure du pique-nique venue, c'est à Larressore, sur l'aire du Pont du Diable, que nous choisissons de dresser notre table.
Une grande tablée, riche des apports de chacun et où le repas se prolonge dans la douceur de ce bel après-midi d'automne.
Le repas achevé et la table rangée, avant de se quitter, nos sorcières et sorciers bien aimés se retrouvent bien sûr sur le fameux pont pour quelques incantations, sorts et messes basses.
Et pour le mois d'octobre, que nous préparent nos guides ?
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- Créé le 13 mai 2024
- Écrit par DEUBEL Denis
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RANDONNÉE DE MAI
(comme chaque fois, pensez à promener le curseur de votre souris sur les photos encadrées en rouge pour découvrir le clin d'œil du mois)
Après deux magnifiques journées estivales, nous voici, ce dimanche 12 mai, brusquement replongés dans un "retour surprise" de l'hiver. Au programme, pas de chapeau et de crème solaire, mais un thermomètre en berne, un crachin digne des Highlands écossaises et un ciel tellement bas que nous ne voyons pas à plus de dix mètres. Bref, une journée que l'on rêverait pouvoir passer allongé sur le canapé, près d'un bon feu de cheminée, à s'abêtir devant des vidéos aussi insipides que relaxantes.
Pourtant, malgré ces piètres conditions, ce n'est pas moins de vingt laminak qui se retrouvent dès 9H00 à notre rendez-vous de mai. Des laminak, qui comme le chantait Enrico Macias dans les années 60, ont dans le cœur le soleil qu'ils n'ont pas dehors.
L'itinéraire
Ainsi donc, vite répartis dans quatre voitures, nous voilà donc en route pour le col de Pinodieta puis la ferme Haltia où nous rejoindrons Nadine et Alain afin d'arpenter ensemble les pentes qui grimpent jusqu'au "Col des Trois Croix". Cette boucle relativement facile d'environ 4,5 km pour un dénivelé de 250 m, se déroule sur un chemin forestier à la pente régulière jusqu'au plateau sommital.
Ce qui nous était promis :
Ce que nous avons eu (pluie, vent et brouillard) :
Ces conditions n'ont toutefois jamais entamé la bonne humeur et l'allant du groupe.
Au sommet :
L'incontournable photo de groupe ...
... et le panorama que chacun a le loisir d'imaginer en fonction de ses goûts.
Bref, température, vent, crachin et brouillard, tout nous incite à ne pas nous attarder et à redescendre rapidement.
Ouf ! On est maintenant sous la couche, on voit où l'on va et on sait où on est.
Après l'effort, le réconfort
Impossible bien sûr de pique-niquer au bord d'une prairie ou sur les berges d'un ruisseau comme nos guides l'avaient sûrement envisagé. De retour aux voitures et à l'heure où nos appétits se réveillent, il nous faut rapidement nous adapter à la météo et chercher un abri au sec. Rapidement, nous nous rallions à la proposition de Maïté et Gérard de déjeuner dans leur jardin, sous leur abri-voitures. En plus, embourgeoisement oblige, nous mangerons assis autour d'une table.
Sitôt dit, sitôt fait, nous embarquons dans nos voitures et quelques minutes plus tard, grâce à la magie de nos hôtes, nous voilà attablés en train de nous restaurer.
Attention, le mois prochain c'est notre "rando-gastro" de fin de saison. Il faudra réserver !
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- Créé le 23 avril 2024
- Écrit par DEUBEL Denis
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RANDONNÉE D'AVRIL 2024
(comme chaque fois, pensez à promener le curseur de votre souris sur les photos encadrées en rouge pour découvrir le clin d'œil du mois)
Après trois tentatives infructueuses la météo de ce 21 avril s'est montrée enfin favorable à notre projet d'escapade sur les flancs du Gorramendi et du Gorramakil.
C'est donc à 15 laminak que nous nous sommes retrouvés au départ de cette balade. Cette boucle relativement facile offre toutefois un ensemble impressionnant de panoramas remarquables. Pour cela, après nous être répartis dans le plus petit nombre possible de voitures, nous partons pour Dancharia puis prenons un cap plein sud en direction d'Elizondo. Enfin, au sommet du col d'Otxondo, nous tournons à gauche pour emprunter la NA-2655, une petite route très peu fréquentée mais parfaitement entretenue sur la quasi totalité de sa longueur. Cette route vraisemblablement construite par les soldats américains au temps de la guerre froide conduit pratiquement jusqu'au sommet du Gorramakil. Du col, il faut toutefois parcourir une dizaine de kilomètres pour arriver au pied du Pic d'Aizpitza (43.199257,-1.445771), hérissé de sa forêt d'antennes qui est le départ de notre rando du jour.
L'itinéraire pédestre :
Après avoir garé les voitures sur le bas côté de la route, à côté d'une table d'orientation, il faut se lancer sur la pente qui monte jusqu'aux antennes puis, à partir de là et de proche en proche, faire l'ascension du Gorramendi, de l'Otanarte et du Gorramakil. Ces sommets gravis, nous redescendrons à notre point de départ en empruntant cette même route.
Une circuit relativement facile d'environ 6 km avec un dénivelé de 263 m et qui se parcourt en 2h30-2h45.
Le départ au pied de l'Aizpitza :
Sur ces premières pentes qui montent séchement, le groupe des laminak est vite éparpillé, chacun montant à son allure et à son rythme. Cette grimpette qui nous cueille à froid est en fait la partie la plus difficile du parcours. Mais les laminak sont courageux et persévérants et tout le monde arrivera finalement au sommet.
De ce sommet (l'Aizpitza), il suffit ensuite de prendre la direction plein nord et de redescendre vers les cromlechs de Maistrugain que l'on voit clairement tout au long de cette petite descente. Enfin, après avoir fait une pause devant ces vestiges d'une humanité naissante, notre groupe entame sereinement la montée vers le Gorramendi.
Sur ce parcours on contourne une sorte de réserve d'eau avec en contrebas un petit étang sur les bords duquel gisent des carcasses d'animaux (chevaux, betizu et moutons), morts durant l'hiver et que les vautours et autres gypaètes ont parfaitement nettoyées.
De là, la montée vers l'ancienne station radar du Gorramendi se fait sans difficultés particulières ! Ceci même si certains sont surpris par la pente qui se raidit un peu dans les derniers hectomètres.
Mais ce petit effort est largement récompensé par le magnifique panorama qui s'offre à celui qui a consenti cet effort.
Les vainqueurs du Gorramendi (1070 m) :
Après avoir fait le tour des ruines de cette ancienne base américaine et profi des magnifiques panoramas qu'offre ce site, il est temps de rendre leur tranquillité aux moutons et de redescendre d'une cinquantaine de mètres avant d'entamer la montée suivante, celle qui conduit à l'Otanarte (1070 m).
Surprise ! Au sommet de l'Otanarte, c'est une sorte de Bahamontes qui surgit seul dans le dernier ressaut, ravi d'avoir laché ses compagnons.
Centrale électrique construite tout en blocs de grès rose : elle était très vraisemblablement destinée à alimenter les immenses radars installés à quelques centaines de mètres d'elle.
La aussi, malgré la présence de ces ruines, l'endroit est magnifique et la vue sur la côte et sur l'arrière-pays est imprenable.
Ceci dit, la course n'est pas finie et il convient de resdescendre avant d'entamer la dernière ascension. Sur ce parcours, les moins sportifs d'entre-nous, nous rejoignent afin d'atteindre ensemble le Gorramakil.
Voilà enfin le point culminant du Gorramakil et sa plaque signalétique qui atteste que nous sommes là au sommet.
Là aussi, le paysage qui s'offre au promeneur le récompense largement de ses efforts.
Nous apercevons même au loin le sommet de l'Artzamendi sous un angle inhabituel.
Le Gorramakil et ses 1082 m imposent une photo souvenir des laminak qui l'ont gravi ce jour là.
Après quelques instants à savourer les beautés du lieu, il est temps de penser à redescendre. Il est midi passé, nos estomacs nous le rappellent et il faut encore parcourir le chemin qui nous ramenera à nos voitures.
L'heure du pique-nique.
Après une petite demi-heure de marche nous atteignons enfin les voitures. Vite on embarque et direction le col d'Otxondo. Là nous tournons à gauche vers Elizondo et nous nous arrêtons assez vite dans la descente pour nous installer sur l'aire aménagée de la chapelle Lizarmeaka.
Là pas besoin de commentaires, tout le savoir-faire et l'efficacité des laminak s'expriment naturellement : le pique-nique est un exercice dans lequel nous excellons !
Encore un petit effort.
Certains n'ayant pas dépensé toute leur énergie dans la rando de la matinée, convainquent le reste du groupe de prolonger la balade en visitant Amaiur et son château.
La montée au chateau : les performances inhabituelles de certains risquent d'obliger Laminak à instaurer des tests antidopage.
Après une dernière pause au pied du monument qui commémore la bataille d'Amaiur en 1522 (une bataille acharnée que livrèrent en vain les navarrais pour défendre leur indépendance), c'est l'heure du "verre de l'amitié". Encore un exercice dans lequel brillent les laminak.
Pensez à réserver votre dimanche du 12/05 pour notre sortie de mai.
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- Créé le 3 avril 2024
- Écrit par DEUBEL Denis
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RAND'OMELETTE 2024
(comme chaque fois, pensez à promener le curseur de votre souris sur les photos encadrées en rouge pour découvrir le clin d'oeil du mois)
Lundi 1er avril, mais aussi ... lundi de Pâques 2024 ! Le rendez-vous annuel des laminak pour leur traditionnelle "rand'Omelette" !
C'est donc à 24 que nous nous sommes retrouvés pour partager cette journée. Au programme, une petite balade de 6 à 7 kilomètres dessinée par Jean-Baptiste puis pour la partie restauration - l'activité la plus suivie ! - les apports de chacuns ainsi que , pour la partie chaude, le talent et le dévouement de Gérard, Maïté, Reinette et Jean-Pierre.
La balade en images
Traversée du Pont du Diable :
L'apéro
Les cuisines ...
Les convives
L'heure des desserts chauds
Prochain rendez-vous : dimanche 21 avril pour une sortie côté espagnol "Gorramendi - Otanarte - Gorramakil".
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- Créé le 30 mars 2024
- Écrit par DEUBEL Denis
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ENTRE PIMENTS ET CERISES
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Parcours :
Dimanche 17 mars, après plusieurs reports, une fenêtre météo enfin favorable s'ouvre et nous pouvons réaliser notre rando de ... février.
Heureusement, ces aléas climatiques n'ont en rien altéré la bonne humeur de notre groupe et c'est donc à dix-huit laminak que nous nous retrouvons sur le lieu habituel de nos rendez-vous.
Pour cette sorte de "reprise après intempéries", notre guide Gérard nous a concocté un petit parcours très agréable sur les hauteurs d'Espelette et d'Itxassou. Une balade qui débute à l'entrée d'Espelette, juste devant la maison de Nadine et Alain, qui emprunte la vieille route d'Itxassou, puis fait le tour de l'aérodrome avant de nous ramener à notre point de départ.
Une sorte de balade très facile d'à peine sept à huit kilomètres avec un dénivelé faible et que nous parcourons sur des petites routes et des chemins très bien "pavés".
La balade en images
Le rendez-vous sur le parking de la crèche ... comme d'hab.
Un rapide transport jusqu'à Espelette, on se chausse et hop, nous voilà plongés dans un magnifique décor à deux pas de chez nous. Sur le chemin, outre les superbes panoramas, nous pouvons également admirer nombre de très belles maisons qui bordent l'itinéraire.
Comme annoncé, le parcours est facile et laisse au promeneur le temps de s'arrêter pour admirer le paysage tout en gardant son souffle pour laisser libre court à des bavardages, rires et accès de bonne humeur.
La nature de son côté sent pointer le printemps et offre de temps en temps à notre regard les couleurs vives de ses premières fleurs.
Parfois notre groupe s'étire un peu trop et il nous faut faire une pause pour attendre les retardataires.
Arrivé à l'aérodrome, nous avons la chance de trouver un aéromodéliste en train de procéder à quelques derniers réglages de son bolide puis de nous faire une démonstration de voltige aérienne.
Puis la balade reprend son cours interrompue un instant pour la traditionnelle pause de la photo de groupe.
Là il manque Michel que nous ne retrouverons
Enfin, retour aux voitures. Juste le temps d'une nouvelle petite pause pour commenter la balade qui s'achève puis filer au centre d'Espelette pour y pique-niquer.
Le pique-nique
Le verre de l'amitié
Prochain rendez-vous : 1er avril pour notre rand'omelette.
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- Créé le 17 janvier 2024
- Écrit par DEUBEL Denis
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AUTOUR D'ARCANGUES
(comme chaque fois, pensez à promener le curseur de votre souris sur les photos encadrées en rouge pour découvrir le clin d'oeil du mois)
Carte du parcours :
Parcours d'un peu plus de 10 km avec un dénivelé d'environ 100 m, cette boucle emprunte pour l'essentiel de petites routes goudronnées qui desservent un ensemble de très belles maisons situées sur les communes d'Arcangues et d'Arbonne. Cette randonnée classée "facile" sur le site Visorando offre toutefois de très beaux points de vue aux randonneurs qui la parcourent.
Le circuit
À l'issue d'un covoiturage de quelques kilomètres, nos voitures se garent sur le parking situé à l'entrée d'Arcangues. Là, notre groupe de dix-huit laminak finit de s'équiper avant d'entreprendre notre première randonnée de l'année. La première étape de notre itinéraire nous conduit vers le cimetière au pied duquel s'étire le très beau golf d'Arcangues.
Ce même cimetière abrite la sépulture de Luis Mariano, le chanteur de "La belle de Cadix" et le personnage le plus célèbre de ce village. Après une petite pose devant cette tombe, notre groupe poursuit sa route en profitant de la tranquillité de cette heure un peu matinale pour faire un petit crochet pour visiter l'église ainsi que ...
... la place du village avec ses deux jolies écoles, son fronton si caractéristique, son élégante petite mairie et ...
... sa fameuse "table des banquet" formée d'une immense dalle de basalte bornée à ses deux extrémités par deux imposants trônes en pierres, vestiges s'il en est d'un temps ancien et de la vanité des anciens "maîtres" de ces lieux.
Puis la promenade se poursuit sans que le reporter attitré ne pense à prendre quelques clichés pour "immortaliser" ce parcours. Une seule exception ...
... l'incontournable photo de groupe (prise un peu après le point 6)
Cette "obligation "accomplie, le groupe reprend sa route non sans s'octroyer une petite halte au centre d'Arbonne pour y reprendre des forces et acheter quelques galettes que nous partagerons à l'heure du pique-nique.
Enfin, après un peu plus de trois heures de marche et de visites, nous arrivons enfin aux voitures.
Le pique-nique
Le verre de l'amitié
Pas de photo non plus de ce moment de convivialité. Ce n'était décidemment pas le bon jour pour notre photoreporter ! Pourtant, puisque nous étions dans la région des golfs, c'est au club-house de celui de Bassussarry que nous avons trinqué à la belle journée que nous venions de partager.
Rendez-vous en février.
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- Créé le 12 décembre 2023
- Écrit par DEUBEL Denis
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CHEMIN DU LITTORAL
(entre Bidart et Saint Jean de Luz)
(comme chaque fois, pensez à promener le curseur de votre souris sur les photos encadrées en rouge)
Carte du parcours :
Un parcours de 11 km avec un dénivelé d'environ 280 m (136 m positifs et 138 m négatifs) qui se déroule sur des chemins bien entretenus et ne présente pas de difficulté. Un itinéraire emblématique du sentier du Littoral qui démarre à proximité de la plage de l'Uhabia et mène les randonneurs jusqu'à la gare de Saint Jean de Luz où , moyennant environ 1,20€, il pourra prendre le bus pour revenir au point de départ. Un parcours au cours duquel on découvre de magnifiques points de vue.
Le départ
Si le thermomètre était printannier, le ciel n'en était pas moins menaçant et il fallait quand même une certaine dose d'optimisme pour se lancer sur ce parcours. Des optimistes chez les laminak il y en avait quand même quinze au départ de l'Uhabia en ce dimanche matin humide.
Le parcours
L'Océan aussi ... on est quand même sur la côte !
vue de face
et ... de dos
Le pique-nique
Les réveries
L'incontournable photo de groupe
Après le pique-nique la balade continue ...
... jusqu'à Sainte-Barbe
Puis, comme dans les meilleurs albums d'Astérix, l'aventure se termine autour d'une table.
Après le "verre de l'amitié", direction la gare et le bus qui nous ramène aux voitures
Vivement janvier pour notre première sortie de la nouvelle année !
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- Créé le 1 décembre 2023
- Écrit par DEUBEL Denis
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Le bois de Mixe
(randonnée pour petits et grands)
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Carte du parcours :
Un parcours de 7,5 km avec un dénivelé d'environ 150m qui se déroule sur des chemins bien entretenus et ne présente d'autre difficulté que celle de son balisage. Un sens de l'orientation bien développé ou mieux un bon GPS sont recommandés pour ne pas trop s'égarer et bien rester sur l'itinéraire conseillé.
Le départ est bien aménagé avec un parking assez vaste ainsi que, juste au-dessus, une belle aire de jeux pour les enfants, des toilettes ainsi qu'un préau doté de tables et de bancs pour pouvoir pique-niquer à l'abri. Ce bâtiment dispose également d'un foyer ouvert dans lequel les plus gourmands pourront faire du feu et réaliser des grillades.
Le départ
Comme le froid était assez vif en ce dimanche 26 novembre 2023, il n'y avait pas de risque de pluie et c'est donc une bonne vingtaine de "lamin'marcheurs" qui avaient eu le courage d'abandonner leur couette pour venir patauger dans la gadoue et surtout bien sûr partager une journée de plein air et de convivialité.
À dix heures moins le quart, chaussures lacées, bonnets enfoncés jusqu'aux oreilles, la petite troupe est enfin prête pour aborder la première étape de cette randonnée automnale. Au programme du premier kilomètre : franchissement d'un ruisseau d'eaux vives sur des "pas japonais" (un challenge pour certains !), passage sur un belvédère pour observer flore et faune qui cohabitent dans un espace humide. Et, pour corser l'aventure : traversées de l'Aphatarena d'abord en empruntant un pont de singe puis une passerelle suspendue. La aussi, plein d'occasions de peurs surmontées, de rires et de cris !
L'approche :
Les "pas japonais" :
Le belvédère :
Le pont de singe :
La passerelle suspendue :
Ces passages "acrobatiques" franchis, la balade se poursuit de manière tout à fait classique pour le plus grand nombre, de manière relax pour certaine et en mode "galère" pour d'autre.
Sur le parcours nous passons au pied d'une palombière. Et là, chose tout à fait exceptionnelle, ses propriétaires nous invitent à y monter pour la visiter. Très accueillants et pas avares d'explications, ils nous présentent leur poste de chasse, nous expliquent quelques rudiments techniques de cette forme de chasse et nous parlent longuement de leur plaisir de se retrouver là chaque année tant pour chasser que pour aménager la palombière.
La palombière vue d'en bas :
Le poste de chasse :
La levée des appeaux ainsi que la descente d'une "lamin'marcheuse" :
Cette très intéressante visite faite, la rando reprend son cours normal sur des chemins rendus boueux et glissants par les pluies diluviennes de ce mois de novembre :
Une marche entrecoupée parfois de quelques petites pauses pour mieux admirer un panorama ou découvrir quelques "trésors" botaniques :
Mais une marche rendue énergique par le dynamisme de Joelle et Françoise.
Au point culminant du parcours (repère 6 sur VisoRando), une petite halte s'impose non pas pour reprendre son soufle mais bien pour saisir l'instant au travers d'une photo de groupe.
Enfin après trois heures de marche, notre petite troupe arrive au lieu de rendez-vous pour retrouver le reste des Laminak et partager un pique-nique bien mérité et riche des nombreux desserts apportés par les uns et les autres :
Après le repas, et juste avant de se mettre en quête d'un bar où nous pourrons partager le traditionnel verre de l'amitié, nous visitons l'aire de jeux accolée à notre "réfectoire".