LARRESSORE
SECTION RANDONNÉE
Cette section propose environ dix randonnées par saison, soit une randonnée dominicale chaque mois hors période estivale. Les itinéraires que nous sélectionnons se situent de préférence à moins d'une heure de route de Larressore afin de favoriser la découverte ou la redécouverte de notre patrimoine immédiat.
Ouvertes à tous, jeunes et moins jeunes, sportifs ou pas, ces sorties privilégient le plaisir à l'effort. Dans ce but, nous limitons la durée de marche à moins de 3 heures, évitons les dénivelés trop importants et incluons une pose "pique-nique" au deux tiers de l'effort. Bref, nos randonnées sont plus familiales que sportives, ne s'adressent pas à des randonneurs accomplis et cherchent avant tout à conjuguer harmonieusement convivialité et activité sportive pour tous.
Sur un plan pratique, nos propositions de sorties sont communiquées à nos adhérents via leurs messageries électroniques et sont diffusées environ une semaine à l'avance. Les RdV ont lieu sur le parking de la crèche de Larressore (chemin Inthalatzeko) et, sauf cas particuliers soigneusement notifiés, ne nécessitent pas d'inscription.
Lors de nos sorties nous nous donnons en général RdV entre 8h et 9h et sommes de retour vers 17-18 heures après avoir partagé le traditionnel verre de l'amitié offert par l'association.
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- Créé le 13 juin 2021
- Écrit par DEUBEL Denis
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Omelette pascale 2021
CoViD aidant, notre sortie traditionnelle du lundi de Pâques s'est vu reportée d'abord à l'Ascension puis à la Pentecote et enfin à la Trinité. En fait, nous avons vécu un application littérale de la célébre expression "... à Pâques ou à la Trinité" !
Après nombre reports, annulations et autres ajournements, nous avons enfin pu, le 13 juin, nous réunir dans un lieu "magique" et partager notre fameuse omelette pascale.
Le repas en images
Sur le chemin de la cantine ...
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- Créé le 7 mars 2021
- Écrit par DEUBEL Denis
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Tour de Villefranque
Dimanche 7 mars 2021, entre confinement, déconfinement et ... reconfinement, nous avons choisi de prendre l'air et de nous offrir une petite balade du côté de Villefranque. Ceci, histoire pour le moins de nous dégourdir les pattes et de passer un agréable moment ensemble.
Au programme une petite boucle facile de 7 kilomètres et demi au départ du trinquet de Villefranque. Il s'agit d'un circuit sans aucune difficulté qui longe tout d'abord la Nive puis monte tranquillement, à travers champs, vers le centre de régulation électrique Argia. A ce niveau il bifurque à l'ouest pour rejoindre le centre du village en passant par le sommet de la colline de Bordagain. Sommet qui offre un panorama remarquable de Capbreton au cap Higer du côté de l'océan et, à l'intérieur du pays, sur tout se qui s'étend entre Villefranque et la ligne de crêtes qui forme la frontière franco-espagnole.
À l'issue de cette randonnée, et pour ne pas faillir à la tradition, nous avons déplacé les voitures jusqu'au niveau de la passerelle de Villefranque pour pique-niquer en semble sur les bords de la Nive.
Le parcours
Le profil de la balade :
Le reportage en images :
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- Créé le 30 octobre 2019
- Écrit par DEUBEL Denis
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Afin de partager notre voyage des 25, 26 et 27 octobre avec tous ceux qui n'ont pas pu se joindre à nous, nous vous proposons ici un petit compte-rendu de notre périple.
Notre première étape est Añana et ses salines, à deux heures et demie de Larressore. Même si certains d'entre-nous les ont déjà visitées, cette structure faite de bois et de terre ne laisse pas indifférent. C'est en effet plus de 6500 ans de labeur, de persévérance et d'ingéniosité qui s'étalent là sous nos yeux.
Après deux visites successives (extérieur puis intérieur) entrecoupées par un très rapide pique-nique pris au pied de l'église d'Añana, nous remontons dans nos voitures en direction du parc naturel "Monte Santiago". Là nous avons prévu de suivre sur près de quatre kilomètres la crête d'une falaise qui surplombe de plus de 300 mètres une vaste vallée kartstite. Deux belvédères exceptionnels (Miradors del cañon del Nervion et d'Esquina Ruben) marquent les extrémités de ce parcours.
Au départ de cette petite randonnée on peut également découvrir les vestiges d'un système complexe de couloirs et de fosses destiné à piéger et exterminer les loups qui devaient être nombreux dans ce vaste territoire. Ces dispositifs de chasse sont jalonnés par d'immenses statues qui représentent des bergers en pleine action de chasse.
Après cette visite, direction les falaises.
Sur le chemin du retour, à quelques centaines de mètres du parking où sont garées nos voitures, nous découvrons également une très jolie et pittoresque résurgence qui devait servir de point d'eau au monastère "Santiago-Langreriz" dont les ruines se trouvent tout à côté.
Après cette petite randonnée, direction Amurrio, une ville de 10000 habitants où se trouve l'hôtel "Ayala" où nous dormirons.
Le lendemain samedi, après une bonne nuit de sommeil, tout le monde est sur le pont dès 8H00 pour prendre le petit-déjeuner avant d'embarquer pour la sierra Salvada.
Au programme de la matinée, l'ascension du Txarlazo (938m) avec sa gigantesque "Vierge de La Antigua" qui surplombe et protège l'immense vallée qui se trouve à ses pieds.
Une petite pose à mi-parcours, juste le temps de faire une photo et de reprendre son souffle.
Sur le sentier, au hasard d'un virage, apparait une fontaine "magique" qui désaltère et redonne parait-il force et courage.
Une boisson de jouvence donc qui permet paraît-il d'aborder sans difficulté les quelques derniers lacets ainsi que l'étroit défilé qui débouche au pied d'une longue pente herbeuse qui monte jusqu'au sommet du Txatlazo.
Arrivé tout en haut, la Vierge installée tout au bord de la falaise tourne ostensiblement le dos au randonneur et lui préfère visiblement le spectacle de la vallée qui se trouve à ses pieds, quelques 400 mètres plus bas.
Ne pouvant apercevoir le visage cette Vierge, il ne reste plus qu'à admirer comme elle le panorama, à prendre une photo du groupe monté jusque là et à abandonner ce dôme balayé par un vent trop violent.
Après une descente sans problème, il est temps de pique-niquer, de s'octroyer une petite pose détente et d'admirer une dernière fois la beauté de ce paysage que nous devons maintenant abandonner.
Direction à présent la petite ville médiévale de Frías, située à près de 60 bornes de là, qui constitue le volet culturel de notre journée.
Tout d'abord, ses remparts,
puis son donjon, ses rues étroites, ses murailles avec leurs créneaux et surtout ses maisons où l'on n'aimerait pas habiter tant il apparaît qu'elles sont à deux doigts de s'écrouler. Sans oublier ...
... son église
et enfin son château, ses murailles et son donjon.
Bien sûr, après tous ces efforts et toutes ces émotions un bon rafraîchissement s'impose.
Troisième jour, 08H00 (heure d'hiver), après quelques péripéties bancaires survenues la veille au soir, tout le monde est fin prêt pour "attaquer" cette dernière journée. Aujourd'hui, direction le parc naturel de Valdejero ainsi que le mont Vallegrull (1224m) que nous devons gravir. Pour y monter nous empruntons un sentier bien tracé, relativement facile et magnifique par endroit lorsqu'il revêt ses belles couleurs d'automne. Cerise sur le gâteau, nous croisons sur le parcours un petit village abandonné et noyé de lumière puis, au deux tiers de la pente, un ermitage construit au bord de la falaise.
Après cette ascension, pique-nique à Lalastra, visite de son église, de son moulin, de son four à pain, ... et de son musée.
Enfin, pour bien finir notre séjour, une dernière halte à la terrasse d'un café s'impose avant de reprendre nos voitures pour rentrer à Larressore.
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- Créé le 5 mai 2018
- Écrit par DEUBEL Denis
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Pour cette randonnée d'avril, c'est sur les pentes de Sare, entre le barrage de Cherchebruit et la venta du carrelage, que nous avions décidé d'aller user nos semelles.
Bien que cette zone soit parcourue par de beaux chemins et sentiers, les abondantes précipitations qui se sont abattues sur notre région depuis plusieurs semaines ont inondé les parties basses de ce terrain. Ainsi, une fois n'est pas coutume, c'est bien à deux reprises que notre guide a dû s'y reprendre pour tracer un itinéraire praticable et éviter que le jour "J" on ne s'enlise dans certaines zones de mangroves laissées par la dernière crue de la Nivelle.
Le dimanche 22 avril, c'est donc une dizaine de laminak qui se sont retrouvés pour parcourir ce petit coin de campagne et passer une agréable journée ensemble.
Un parcours finalement assez facile où les seuls passages "périlleux" étaient le franchissement d'un affluent de la Nivelle sur une passerelle de type "récup EDF" ...
... suivi de la traversée d'une zone "très légèrement" grasse.
Enfin, après le passage de ces obstacles, nous avons pu nous regrouper et compter. Tout le monde était là et surtout personne ne portait les stigmates d'une quelconque chute dans la boue.
Ouf, maintenant à nous la lumière, la verdure, les chemins secs et même une agréable pause "fromage" !
Sur le chemin du retour, bien sûr, l'incontournable photo de groupe.
Après cela, retour aux voitures et ...
... passage aux choses sérieuses.
Les estomacs repus, certainEs se livrent au plaisir du bavardage
alors que d'autres se confient aux bras de Morphée.
Pour finir agréablement la journée, nous faisons une petite halte à Etchartenea pour y partager le verre de l'amitié et ...
... y retrouver une vieille connaissance que nous y avions rencontrée dans les mêmes circonstances il y a un peu plus d'un an.
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- Créé le 5 avril 2018
- Écrit par DEUBEL Denis
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La traditionnelle randonnée du "Lundi de Pâques" avait réuni cette année quinze marcheurs qui sont devenus comme par miracle dix-huit convives à l'heure du déjeuner. Quinze marcheurs tout d'abord qui au cours d'une petite balade de sept à huit kilomètres ont découvert ou redécouvert des coins de Larressore peu fréquentés. Dix-huit convives ensuite qui se sont retrouvés à Pecatenborda pour partager l'omelette confectionnée comme chaque année par notre ami Gérard.
CARTE ET PROFIL DE LA BALADE :
Le circuit pédestre proposé cette année formait une boucle qui, en partant de la crêche, nous a conduit successivement sur les bords du Latxe (passerelle), au château d'eau de Pelerenborda puis au moulin d'Ospitalia. De là, après avoir traversé la 932, nous avons pataugé dans les barthes de Belaiçay jusqu'à Portuita avant de revenir par l'ancien séminaire et la vieille poste.
PASSAGE DE LA PASSERELLE :
D'autres enfin adoptent des styles très différents :
BELAICAY :
LE TEMPS DES AGAPES
D'abord bien sûr un petit apéritif ... pour attendre les retardataires.
Puis le temps de l'omelette qui a justifié tous ces efforts !
Enfin, après avoir passé un excellent moment ensemble, vient l'heure du retour dans nos pénates respectives. Juste quelques derniers échanges
et un voeu :
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- Créé le 20 mars 2018
- Écrit par DEUBEL Denis
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Exceptionnellement pour cette randonnée du 18 mars, les aléas de la météo avaient rendu impossible la reconnaissance préalable que nous effectuons habituellement. Nous nous sommes donc fiés aux souvenirs que nous en avions. Un souvenir il est vrai vieux de presque dix ans !
Ainsi, l'itinéraire proposé était :
alors que sa réalisation ressemblait davantage à ceci :
Déjà au départ nous n'étions que huit. Nombre de nos marcheurs habituels avaient préféré la douceur de la couette aux caprices d'une météo peu engagente. Ainsi vers 10h30, au départ de notre randonnée, la pluie qui tombait et le vent qui soufflait ne nous encourageaient pas à sortir des voitures.
Mais notre courage a été vite récompensé puisque, dès le premier hectomètre franchi, nous sommes tombés sur des chênaies où sont encore exploités ces fameux arbres qui produisent le liège.Tout en marchant Michel nous a alors expliqué que cette exploitation demandait énormément de patience puisque ces arbres ne devenaient réellement productifs qu'environ 40 ans après avoir été plantés. En effet, il faut déjà attendre entre 25 et 30 ans avant de leur faire subir leur premier écorçage (le démasclage). Une récolte qui fournit un liège de mauvaise qualité totalement impropre à la production de bouchons. A partir de là, ce sera seulement tous les 10 ans que l'on procédera à de nouveaux écorçages qui fourniront alors le noble matériau que se disputent les embouteilleurs de nos grands crus.
Puis nous avons emprunté quelques jolis sentiers.
Nous avons également croisé la maison de la Nasse avec son port, son débarcadère et son barrage. Il paraît qu'à cet endroit au début du XXième siècle on y pêchait des anguilles en grandes quantités. Certains disent même qu'il arrivait que l'on en attrape jusqu'à 4 tonnes dans une seule nuit !
Puis les choses se sont gâtées, les hésitations se sont multipliées et le doute s'est installé sur la direction que nous devions prendre :
Enfin tout est rentré dans l'ordre grâce à la découverte de la passerelle qui enjambe le Huchet :
Dès lors, en même temps que le soleil se faisait de plus en plus présent, les groupes se formaient, s'éparpillaient ... profitaient de la forêt qui s'offrait à eux.
Plus loin sur l'itinéraire nous avons croisé les fameux cyprès chauves qui poussent dans les Landes. Des conifères majestueux, originaires du Golfe du Mexique et qui culminent à près de 40 mètres. Cet arbre très curieux a des feuilles persistantes, peut vivre près de 600 ans et a la particularité de former tout autour de lui, d'étranges rejets qui poussent sur ses racines et forment comme une armée de petits personnages de 30 à 60 centimètres. Ces pneumatophores, c'est comme cela qu'on les appelle, sont des excroissances qui permettent à la plante d'effectuer les nécessaires échanges gazeux que les racines immergées ne peuvent assurer.
Plus tard, après le pique-nique pris près des voitures, nous sommes allés jusqu'à l'océan.
Puis nous avons pris la traditionnelle photo de groupe afin de se souvenir
ainsi que deux portraits.
Mais il était déjà 16h et il nous fallait retourner aux voitures pour ne pas manquer le rituel du "verre de l'amitié" que nous avons partagé sur les bords du lac de Léon.
En résumé, une super journée qui, comme dans les albums d'Astérix, s'est terminée joyeusement autour d'une table.
Allez Gérard, vivement la rando d'avril !!!
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- Créé le 22 février 2018
- Écrit par DEUBEL Denis
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Dimanche 18 février, 9h du matin, parking de la crèche de Larressore : ciel gris mais sans être inquiètant et température douce. Une petite journée sans soleil en perspective, une journée grise, un peu morose comme nous en connaissons plein ici en hiver. Parfaitement confiants, certains laminak déchargent même leur sac à dos de leur cape de pluie et de leurs effets les plus chauds.
Cinquante minutes plus tard pourtant, en arrivant aux abords de Fontarrabie, les choses ont bien changé : un vent froid s'est levé, le ciel est noir jusqu'à l'horizon et arrose nos têtes d'une fine pluie à la fois froide et pénétrante. Une pluie qui ne faiblira pas de toute la journée.
Malgré cette météo "à rester au coin du feu", aucun des quinze laminak venus faire cette balade n'est maintenant disposé à renoncer. Et c'est donc joyeusement que notre groupe se lance vaillamment dans ce périple. Faisant fi du froid, du vent et de la pluie nos laminak sont bien déterminés à boucler ce circuit et, comme le chantait Henrico Macias dans les années 60, "ils ont dans le coeur le soleil qu'il n'y a pas dehors ! ".
Contrairement à nos autres sorties, pas beaucoup de photos tant la météo était peu propice à cette pratique. Seulement quelques images un peu décalées de cette journée comme pour attester de notre bonne humeur et de notre sens de l'auto-dérision.
Aller, ce préambule fait, c'est parti pour un petit florilège des meilleurs moments de notre aventure.
Pour commencer, comme une mise bouche : première halte près du phare du cap Figuier :
Quelques photos quand même des panoramas que nous avons traversés :
Heureusement, vers midi, une courte éclaircie nous a permis de nous retrouver sur la grève.
Profitant de cet instant d'accalmie, nous avons rapidement fait deux photos de groupe. Mais les sujets étaient perdus dans d'étranges pensées.
Vers une heure nous arrivons enfin à Notre Dame de Guadalupe pour y pique-niquer sous le préau de son parvis.
A l'issue de déjeuner quelque peu spartiate, nous nous rendons à Pasajes pour la partie culturelle de notre sortie et pour également aller nous réchauffer dans un bistrot.
Quelques vues de Pasajes :
Enfin un bar où l'on peut se réchauffer.
Joëlle s'essaye au café local.
Temps 1, les senteurs :
Temps 2, les saveurs :
Temps 3, l'effet "Taberna Atari" (après avoir ingurgité la potion du patron, fumé un bon pétard et sniffé un rail long comme la table, on voit la vie en rose et tout est délicieux) :
Maintenant à l'abri et au chaud, les langues se délient pour certaines alors que d'autres, ne pouvant en placer une, se réfugient dans la rêverie ou les reportages de foot à la télé.
Pour finir, et comme dans toutes les belles histoires, ils rentrèrent tous chez eux heureux en se disant...
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- Créé le 15 janvier 2018
- Écrit par DEUBEL Denis
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Samedi 13 janvier, pour leur première rando de l’année, les Laminak s’étaient donnés rendez-vous à Saint Martin de Seignanx. Au programme, une visite privée dans la réserve ornithologique des barthes de l’Adour suivie d’une balade jusqu’au village de Saint Barthélémy.
Malgré la météo un peu maussade, ce programme avait su séduire un certain nombre de nos randonneurs puisque nous étions déjà quinze au départ de Larressore puis, par un prompt renfort comme dirait Racine, nous nous retrouvâmes dix-sept en arrivant ... à Saint Pierre d’Irube.
A l’entrée de la réserve nos guides Jacky et Christian nous attendaient équipés de puissantes longues vues pour nous permettre de mieux observer les oiseaux.
Quelques consignes plus tard, nous pénétrons enfin dans le saint des saints, un espace sauvage d'ordinaire réservé aux seuls oiseaux.
Des flaques, des mares, ... un décor qui réveille nos âmes d'enfants en nous invitant à patauger le long de ces prairies inondées.
Grace aux explications de nos guides et aux puissantes longues vues qu’ils ont mis à notre disposition, nous pouvons observer cigognes, grues cendrées, aigle criard, spatules ... et autres oiseaux palmés ou pas.
A l’issue de cette visite et après avoir remercié chaleureusement nos guides, nous avons poursuivi notre excursion le long des berges de l’Adour où, au hasard d’une croisée de chemins, nous sommes tombés nez à nez avec une autre espèce aviaire, endémique de cette partie des Landes : ... l’oie ... à foie gras.
L'agressivité de ces volatiles est très instructive. Son souvenir dissipera en nous tout sentiment de compassion lorsque, à l'occasion, nous les verrons rôtir dans le four !
Après un copieux casse-croute pris sur l’aire de pique-nique aménagée entre fleuve et mairie, nous sommes montés jusqu’à l’église de "St Barth" pour profiter du belvédère qu'offre son parvis.
Sur le chemin du retour, nous avons profité de quelques rayons de soleil pour musarder et admirer les magnifiques demeures construites là, souvent au début du XXème siècle, entre fleuve et barthes.
Contrairement à son homonyme des Caraïbes, notre St Barth à nous se refuse à afficher son opulence à travers le prisme d'une flotte criarde et souvent provocatrice.
Une petite photo de groupe sur les bords de l'Adour pour se souvenir de cette agréable journée et faire regretter aux absents d'avoir préféré les bras de Morphée à l'air vivifiant d'un samedi d'hiver à la campagne.
Enfin, et comme d’habitude, nous avons partagé le verre de l’amitié avant de rentrer à Larressore.